Quatrième jour de test.

Messages : 57 Date d'inscription : 28/07/2009

Saens entre dans la taverne.

Saens s'offre un verre.

Deltamu entre dans la taverne.

Deltamu entre doucement

Saens se retourne et esquisse un sourire.

Deltamu s'avance vers lui tranquillement

Deltamu : Je ne fais que passer, mais vous apercevant je n'ai su résister à l'envie de pousser la porte.

Saens : Et vous restez le temps d'une bière ou...?

Deltamu : Je peux trouver ce temps, mais risque de devoir partir à tout moment.

Saens : Et mystérieuse avec ça.

Saens se lève et file au comptoir.

Deltamu sourit et l'observe.

Saens pose une chope devant elle, un baiser près de son oreille et se rassied.

Saens offre un verre à Deltamu.

Deltamu frissonne au baiser et profite de ses genoux pour s'y asseoir, chope à la main.

Deltamu : Dernier jour hein...

Saens : Ne vous plaignez pas, les draps n'auront presque pas le temps de refroidir.

Saens sourit, ironique, en l'enlaçant.

Deltamu , un rien déstabilisée, prend son temps pour répondre, posant sa main sur la main enlaçeuse.

Deltamu : M'en réjouir... oui sans doute, bien que j'aurais peut être préféré les garder froids votre odeur en dedans.

Saens : Au contraire, faites-les vivre avant d'avoir mon âge.

Deltamu : Mauvais argument, je vous l'ai dit, je ne vous trouve pas si vieux que vous le dites. Et puis... simplement profiter un peu plus, je vous l'ai dit, garder une odeur, une impression, un goût...

Saens : Il va falloir se restreindre aux souvenirs. Qui s'étiolent, certes, alors nous verrons ce qui l'en reste à la fin.

Deltamu : Oui, nous verrons.

Saens : Par contre, je ne vous cache pas que je suis très curieux de croiser votre ami.

Deltamu hausse un sourcil.

Deltamu : Et nous finirons cette conversation plus tard...

Saens : Oui, c'est totalement puéril, à plus tard.

Deltamu l'embrasse et file, embarquant la chope.

Saens la suit du regard.

Deltamu : Ce n'est pas puéril, c'est surtout... que si vous restiez... enfin...

Deltamu soupire et sort.

Messages : 57 Date d'inscription : 28/07/2009

Saens entre dans la taverne.

Saens s'offre un verre.

Deltamu entre dans la taverne.

Deltamu arrive derrière lui en silence.

Saens prend le temps d'avaler une gorgée.

Deltamu dépose un baiser sur sa nuque et murmure un "rebonjour"

Saens sourit, tend un bras tâtonnant vers l'arrière.

Deltamu lui attrape ledit bras, la main pour être exacte.

Saens : Vous allez ?

Deltamu : Je vais... ici.

Deltamu sourit et s'installe sur ses genoux.

Saens reprend sa main et glisse ses doigts entre les siens, qu'il observe.

Saens : Hum, et ici, c'est bien ?

Deltamu : Ici, c'est parfait.

Deltamu pose les yeux sur leurs mains réunies.

Saens : Je vais en conclure que vous allez bien. Tant mieux.

Deltamu : Et vous, comment allez vous ?

Saens : Bien, toujours bien.

Saens joue à détordre l'index et le majeur, pianote sur les autres doigts.

Deltamu : Pour être honnête... non, ça ne va pas si bien... mais je ne veux pas faire ombrage aux moments que nous allons passer ensemble.

Oursaring entre dans la taverne.

Deltamu tente un léger sourire.

Saens regarde au comptoir.

Saens : 'jour.

Oursaring : Quel moment? ^^

Deltamu : 'jour Oursa.

Oursaring : Bonjour je dérange point?

Saens : Presque.

Oursaring : Bon, ben si c'est que presque...

Deltamu : Pas que presque en fait.

Oursaring : ah bon, pas du tout?

Saens : Hum, non plus.

Saens : Complètement alors.

Oursaring : Complètement quoi?

Oursaring commence la vaisselle

Saens : Vous dérangez, complètement.

Oursaring : Ah bon!!!

Oursaring : Fallait le dire de suite!

Oursaring : si vous le dites pas...

Deltamu : Là, c'est dit.

Oursaring : Oui, c'est dit

Oursaring continue sa vaisselle

Oursaring : nan, je blague

Deltamu : ...

Oursaring : allez, je file les amoureux

Oursaring sort de la taverne en grommelant et claque la porte.

Saens : Les a... hum.

Deltamu : Nous disions ?

Saens : Que vous alliez mal, sans vouloir porter ombrage à nos moments.

Saens : Et j'allais dire que je n'étais pas d'accord.

Deltamu : Et pourquoi ?

Deltamu ne cesse de regarder leurs mains.

Saens : Parce que je préfère que vous alliez bien. C'est... naturel, non ?

Deltamu sourit légèrement et hoche la tête.

Deltamu : Disons que je vais bien, un brin de mauvaise foi.

Saens : Hum... non. Dites-moi plutôt ce qui vous tracasse. Je suis de mauvais conseil, mais de bonne oreille.

Deltamu : Bah... Je n'apprécie pas de vous voir partir... ni de vous voir rester si c'est pour ne pas être en vos bras.

Saens : Et pourquoi ne pas plutôt vous focaliser sur les bras suivants ?

Saens hasarde donc son mauvais conseil dans son cou, entre deux baisers.

Deltamu : Parce que je préfère les vôtres...

Saens : Cela vous passera, vous oublierez les miens, suffit d'un peu de temps.

Deltamu : Sans doute... Même si je n'en ai guère l'envie.

Saens : Vous le pensez parce que je suis encore ici.

Saens sourit, amène les lèvres derrière une oreille, tout de même un peu distrait.

Deltamu : Peut être.

Deltamu frissonne légèrement.

Deltamu : Ou pas.

Saens : Tsss. Je vous ai dans la peau aussi, et je ne parle pas que de hum, cette fois-là. Ne vous tracassez plus.

Saens : Du moins, j'aimerais ne plus être un sujet de tracas.

Deltamu : Et votre solution c'est de vous en aller...

Saens : Avouez qu'elle est efficace.

Deltamu : J'ai eu ce matin, une proposition... pour servir de marchand pour le comté...

Saens la regarde, fait doucement non de la tête.

Deltamu ne le voit pas, focalisée sur leurs mains, encore.

Deltamu : Comté de Toulouse... pas votre route ça ?

Saens : Je n'en sais rien, et quand bien même.

Deltamu : Quoi donc ?

Saens : Je préfère marcher seul. Et puis je vous l'ai dit, vous vous lasseriez.

Deltamu : Il se peut que je parte demain... J'ai donné mon accord pour partir s'ils avaient besoin.

Deltamu hausse les épaules.

Saens lève les yeux au ciel.

Saens : Je ne dis rien, vous êtes une grande fille.

Saens : Hum... Delta ?

Deltamu : Oui ?

Saens : J'espère que vous ne partez pas pour moi... aussi présomptueuse l'hypothèse puisse-t-elle être.

Deltamu sourit.

Deltamu : Je vous l'ai dit, la route me manquait.

Saens sourit.

Grocro entre dans la taverne.

Saens : Je plains votre arrivant. Bonjour.

Saens : Nous allions bien oui

Grocro : Et ca va moins bien maintenant ?

Saens : Nettement, pour ma part.

Grocro : Rooh pas possible

Grocro : Bon bah je vais vous laisser alors

Saens : Hum, au revoir.

Grocro : A bientot

Deltamu regarde Saens.

Grocro : Delta au revoir

Deltamu : Au revoir.

Grocro sort de la taverne en grommelant et claque la porte.

Saens affiche un sourire réjoui.

Deltamu : Rapide...

Saens : Oui, assez fier de moi pour une fois.

Deltamu sourit et dépose un léger baiser sur ses lèvres.

Saens la serre contre lui, s'avachit un peu sur sa chaise.

Deltamu se blottit contre lui, le visage enfoui dans son cou.

Saens : ça vous dit une nuit expérimentale ?

Deltamu : J'en serais ravie.

Saens : Hum, il faudra que vous trouviez un thème pendant que je me repose alors.

Saens fait avec sa main des allées et venues lentes, dans ses cheveux, contre sa nuque.

Deltamu : Hmm... là, comme ça, je ne sais...

Deltamu : Il va falloir que j'y réfléchisse sérieusement.

Saens : ça mérite une réflexion de premier ordre en effet.

Deltamu ferme les yeux, profitant du moment, la main sur son torse.

Deltamu : Oui, grande réflexion.

Saens : Que diriez-vous de... enquête sur les frictions dermiques et leurs résultantes en milieu naturel ?

Deltamu : Hmm, c'est vague... cela laisse de nombreuses pistes.

Deltamu : Tant mieux.

Saens : Oui, et puis on peut aisément y ajouter des précisions.

Deltamu rit légèrement.

Deltamu : On devrait s'en sortir...

Deltamu : En scientifiques avertis.

Saens : Une nuit, cela va être court pour rassembler tous nos vices.

Deltamu : Je trouve aussi...

Deltamu : Ne parlons pas de temps... Je crois que je vais honnir ce mot de mon vocabulaire.

Saens sourit.

Saens : Entendu. N'aimeriez pas que vous me tranchiez la langue.

Deltamu : Ah ça... jamais !

Deltamu : N'ayez crainte, elle est bien trop précieuse.

Santiagoriccardo entre dans la taverne.

Saens : Elle m'est surtout utile, bonjour.

Deltamu sourit.

Deltamu : Très utile, bonjorn.

Deltamu : Hem...

Saens hausse légèrement les épaules.

Saens : Hum, bref, nous disions ?

Deltamu : Nous parlions de votre langue, qui disiez vous, vous était très utile, ce que j'ai confirmé.

Deltamu : Et auparavant nous parlions sciences.

Mylord entre dans la taverne.

Saens : Et... n'avions aucun sujet plus... ?

Saens : 'jour.

Mylord : Bonsoir!

Mylord : hum...

Deltamu : 'jour.

Mylord : Nani?

Deltamu : Sujet plus... quoi ? ... abordable icelieu ?

Saens acquiesce.

Deltamu rit.

Mylord Médite

Deltamu : Oh, je ne vous ai pas dit, ce matin, j'ai pris leçon.

Santiagoriccardo : 'Jour

Deltamu : Je sais désormais tracer les voyelles et mon nom.

Saens sourit.

Saens : J'espère que vous aurez bonne mémoire pour ça.

Saens murmure à Delta qu'il doit se lever.

Messages : 57 Date d'inscription : 28/07/2009

Saens :
*Referme soigneusement la porte derrière lui et s'engage lentement dans la rue.*

Delta :
*Ouvre la porte, l'aperçoit et le rejoint, non sans avoir fermé - sans claquer - la porte.* Trop de monde... ?

Saens :
*S'arrête net, surpris.* Hum ? Oui. Je suis, suis prévisible. Sais. Je sais. Encore ces foutus lapsus.

Delta :
*Sourit.* Pas prévisible, non, mais il est des choses que je retiens. Si vous n'aimez guère les discussions, cela me semblait évident que vous n'appréciez pas qu'il y ait tant de monde.

Saens :
C'est que j'ai les oreilles sensibles. *Glisse ses doigts dans sa paume, la regarde, l'air intrigué.* Vous avez besoin d'une sieste vous ?

Delta :
Une sieste ? Une idée... Si l'on veut être en forme pour l'étude. *Entrecroise ses doigts avec les siens, lui souriant.*

Saens :
Alors je vous emmène à mon auberge... elle est coquette. *affirme-t-il en songeant aux murs lézardés et à l'odeur de lard sec qui traînez au rez-de-chaussée* Enfin, à son niveau. *Resserre ses doigts sur les siens, peut-être trop fort, et reprend sa marche.* Dites-moi, qu'allez-vous vendre à ces chanceux de toulousains ?

Delta :
Si cela se fait, je dois leur faire parvenir du fer. A vrai dire... Quoique je doive leur apporter, je m'en fiche quelque peu. La route voyez-vous... Coquette l'auberge? ça aussi, je m'en fiche. *Rit, répondant à la pression des doigts.*

Saens :
Ah ? Tant mieux... *Au tournant d'une rue, se régule le palpitant en décélérant le pas et avise une porte entre les autres, en face.*
C't'ici. *Lui ouvre, la porte, et sur un ton qu'il tente d'avoir parfaitement français, ou du moins sans cette pointe d'accent haché au couteau :* Si vous voulez bien vous donner la peine.

Delta :
*Réprime un rire au changement de ton, incline légèrement la tête en remerciement et se donne la peine d'entrer, port altier, sourire aux lèvres.* Merci bien. *Evalue l'odeur qui lui assaille les narines, réveillant par la même son estomac, qui heureusement, reste silencieux.*

Saens :
*Glisse un bras autour de sa taille et la mène sans détour à de petits escaliers, n'ayant manifestement pas force envie de croiser le tenancier des lieux. Les monte en silence jusqu'à l'étage, se faufile jusqu'à une porte et réitère l'offre de tout à l'heure, en murmurant.*

Delta :
*Se fait silencieuse et se laisse mener, entre en la chambre et observe le lieu, curieuse, toujours. N'a cure de l'état des murs et s'en vient s'asseoir sur le rebord du lit, lissant machinalement le drap à côté d'elle.*

Saens :
*Entre à sa suite et referme la porte avec précaution, avant de se mettre à son aise, ce qui signifie, ôter ses nippes en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, les envoyer valser dans un coin de la pièce, entre un baquet incongru et des restes de festin. Marque une hésitation à l'endroit des braies, se rappelle, tout de même, qu'il y a une dame, et vient s'affaler sur la couche avec elles. Le volet de bois est quasiment fermé, la poussière danse la gigue avec un rayon de soleil qui s'est perdu là.*

Delta :
*Tandis qu’il se dessape, l’observe, dans la quasi obscurité de la pièce. Se relève alors qu’il s’allonge et entreprend de se défaire de sa robe, lui tournant le dos, gardant, par principe étant donné qu’il a gardé ses braies, sa légère chemise. Se retourne ensuite et s’en revient s’asseoir. Se penche sur lui et lui murmure à l’oreille :* Vous qui vous dites si âgé, souhaiteriez vous un massage pour soulager vos vieux os ? *Sourire qui s’étire sur ses lèvres, regard qui le détaille, donnant leçon à sa mémoire.*

Saens :
*Rouvre lentement
ses paupières déjà alourdies et esquisse le même sourire. A voix basse, comme pour ne pas déranger la pièce :* S'il ne vous donne pas nausées de masser un vieillard... avec plaisir.

Delta :
*Sourire qui prend une forme un rien ironique tandis qu'elle rétorque, sur le même ton en s'installant à califourchon sur le séant du vieillard :* Si fait, un peu, mais je pense être capable de contrôler cette répulsion. *Mains qui se posent, délicates, sur ses épaules avant d'entamer sans plus attendre une pression sur elles, moins délicate, énergique.*

Saens :
Quel admirable don de soi... *Murmure-t-il avant d'enfouir son nez dans les draps défaits, pousser un soupir de contentement. Redresse à nouveau le visage pour dire une bêtise.* Avez de la chance, les vieux ne sont pas très reluisants, mais sont généreux.

Delta :
Généreux ? Je n'osais l'espérer, mais je me demande bien quel genre de paiement vous saurez me donner en récompense. *S'attarde sur les épaules ridées, ou pas... plutôt pas en fait, ses mains descendent alors le long de l'échine bien moins flétrie qu'il ne l'assure, s'y attachent, en massent le contour, griffant parfois, entre deux malaxages de chair.*

Saens :
Tout dépend. Avant trente ans, on est moins libidineux qu'après je suppose. Alors ce sera un salaire galant. Dire qu'il y a quelques jours j'étais encore assez jeune... *Lance un regard déprimé vers le mur, passe une main sur l'objet de sa déprime de l'âge, soit six poils blancs dans la barbe. Gémit. De douleur, ou de plaisir, qui sait.*

Delta :
Et qu'est ce qui vous fait dire que vous êtes si vieux ? Vous me paraissez pourtant bien fringant. Votre dos semble supporter bien des choses et mes doigts ne me le disent pas flasque et dépourvu de la moindre force. *Sourit* Quant au salaire galant, c'est à voir, j'avais pour idée de faire la sieste. *Mains qui remontent le long de sa colonne, s'allant faire la ronde sur ses omoplates, cercles concentriques il parait, et elle s'y essaie. Se demande un instant d'où lui viennent ces connaissances sur les dos, mais ne s'attarde pas sur l'interrogation, concentrée sur sa tâche.*

Saens :
*Marmonne dans le drap :* Ma barbe est blanche. *Mais elle est noire. Bon, presque.* Bientôt comme celle du Grand Barbu. Et mon dos... humpf, le vois jamais. Vingt-huit berges et des joues en sédition. *Continue de râler dans le tissu, c'est quasiment inaudible. Pour se consoler, tend les mains vers l'arrière et cherche à flatter le galbe d'un fessier, le dos abandonné aux mains qui le calment, doucement.*

Delta :
*Tend l'oreille à ses propos, arquant un sourcil à la mention de la barbe blanche et n'entendant pas grand chose de la suite. Sourit tout de même se demandant si trois poils blancs le font se sentir si vieux, d'un coup et se refuse à rire à cette idée. Dextre et Senestre s'attardent dans ses reins, soulageant là d'éventuelles douleurs dues à l'âge. Chuchote d'un air de reproche mal feint :* Si vous mettez vos bras ainsi, vous allez vous créer des tensions... vous n'y pensez pas, à votre âge...

Saens :
*Hausse un sourcil, puis en fronce deux. Le ton était assez bien feint pour lui et son ego viril, surtout pour le dernier des deux. Il tourne une énième fois le nez vers elle, lui donnant à voir son profil le plus tragique. Seule une main demeure sur l'arrondi d'une fesse, mais elle a de ceci qu'elle n'est pas inerte.* Mais je veux créer des tensions. Et mes reins vont très bien, messer ma merveille de séant également, merci.

Delta :
*Le regard se tend vers l'objet du désespoir, le sourire s'allonge un rien plus. Et tandis que la main active prend ses marques, elle se penche vers sa nuque et y dépose quelques baisers, légers. Le côté étant tourné, s'en vient lui mordiller un lobe, juste posé devant sa bouche puis lui murmure :* Je connais moyen de se sentir jeune encore et je crois que vous le connaissez aussi. *Mains masseuses se transformant en mains vagabondes, le geste se fait plus doux.*

Saens :
Me raser ? Une sieste ? *Demande-t-il sur un ton sérieux qu'il ne commande pas, qui contraste avec sa main de plus en plus occupée sous la chemise de l'amante, la vague de frisson qui lui galope le long de l'échine et la barre de fer qui lui pousse entre les jambes comme une
pâquerette.*

Delta :
Non pas vous raser... Ce que vous voyez et trouvez si apparent ne l'est pas tant. Et la barbe vous sied. En tout cas, elle me plait à moi. La sieste... N'étions nous pas là pour ça ? *Epiderme qui réagit à la main qui visite le dessous de son vêtement. Griffouille le long de son dos, et, sourire aux lèvres, mutin, provocateur, roule sur le côté, face à lui, regard pétillant de malice.* Hop, on dort !

Saens :
*Hoche lentement la tête, se met sur le flanc à son tour, sourire enjôleur.*Dormez ma douce aux mains de fer, dormez et fermez vos mirettes bleues. *Sur ce, délace d'une main impatiente ses braies et se place sur elle.* Ne prenez pas garde aux satyres qui
rôdent, ne font que passer.

Delta :
*Docile, sourire qui s'est bien décidé à ne la plus quitter aux lèvres, elle clôt les yeux.* Si fait, je m'en vais dormir. Ou essayer, il va me sembler difficile de ne pas y prendre garde. *Rouvre les yeux sur les siens, pose sa main sur sa nuque et se hisse jusqu'à sa bouche lui volant un baiser, passionné.*