Plumes... de plume
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Plumes... de plume

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Seconde expérience.

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Delta

Delta

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Date d'inscription : 28/07/2009

Seconde expérience. Vide
MessageSujet: Seconde expérience.   Seconde expérience. Icon_minitimeMar 11 Aoû 2009 - 19:52

Saens avale quelques gorgées de bière, qui ont le mérite de le réveiller. Un peu.

Fred1003 : non, que j'ai jamais vu d'ange *hips* dormir, *hips* à par *hips* ma douce

Fred1003 sourit

Deltamu se lève et s'avance vers Saens, venant cueillir quelques gouttes de bière sur ses lèvres.

Saens sourit légèrement et en repose sa chope.

Saens : Suis un malpoli... et vous, avez bien dormi ?

Deltamu : Peu, fort peu, mais très bien.

Fred1003 : sur ce, je dois vous laisser

Deltamu : Au revoir Fred, cuvez bien.

Fred1003 : je vous souhaite de passer une très *hips* bonne aprem

Saens : A vous aussi.

Fred1003 : oui, pas trop au soleil

Fred1003 : merci

Fred1003 : je *hips* vais me *hips* trouver une petite crique bien sympa

Fred1003 : ciao !!!

Deltamu sourit

Deltamu : Bonne sieste.

Saens sourit.

Fred1003 : merci Dame

Fred1003 lui fait un clin d'œil

Deltamu : Dame ?

Fred1003 rit

Deltamu rit

Fred1003 : Ciao !!! Delta, messire *hips*

Fred1003 sort de la taverne en grommelant et claque la porte.

Saens le suit du regard, amusé.

Saens : Incroyable ce que les hommes ont du mal à se détacher de vous.

Deltamu hausse un sourcil et sourit.

Deltamu : Je ne sais, vous trouvez ?

Saens acquiesce.

Deltamu s'installe à côté de lui non sans avoir récupéré sa chope.

Deltamu : Pourtant vous êtes homme et repartez ce soir, non ?

Saens : Et n'étais-je pas censé repartir la nuit dernière ?

Deltamu : Il est vrai... mais vous aviez bu...

Deltamu : Ce n'est pas moi, c'est l'alcool qui vous a gardé présent.

Deltamu lui sourit, amusée.

Saens : Vous jouez bien les niaises aussi... mais moins que les affolées.

Deltamu : Arff, je ne suis donc pas crédible.

Deltamu : Il va me falloir travailler cela.

Saens : Oui, peaufiner un peu les expresssions.

Deltamu : Cela occupera mes longues soirées d'hiver.

Saens : Ah, c'est un peu mieux.

Deltamu incline la tête.

Deltamu : Vous êtes bon public.

Saens : J'essaie juste de ne pas vous décourager totalement.

Deltamu : C'est fort appréciable de votre part, mais il en faudrait bien plus pour me décourager.

Saens : Ah ? Persévérante ?

Deltamu : Toujours.

Deltamu : Il le faut si l'on souhaite vivre selon ses désirs.

Deltamu : Et optimiste, aussi.

Saens : Cela on peut aisément s'en passer.

[…]

Saens après cet effort remarquable de sociabilisation, replonge le nez dans sa chope.

Jony24 sirote sa bierre tranquillement

Deltamu écoute le silence et pointe le doigt vers un point imaginaire.

Jony24 : ah oui autre chose...

Deltamu : Arff vous l'avez fait fuir..

Saens : Hum ?

Jony24 : on peut avoir un deuxième champs déjà au niveau 1?

Jony24 : ou bien faut d'abord passer au niveau 2

Deltamu : Tout à fait.

Deltamu : Lorsque vous êtes paysan, vous pouvez.

Jony24 : et on peut avoir combien de champ au maximum?

Deltamu : deux.

Jony24 : merci

Deltamu incline la tête, légèrement.

Saens vide une chope, s'étire un brin.

Deltamu : Il n'empêche qu'il a fuit.

Jony24 : oui malheureusement

Jony24 : mais si on est bien sage il va revenir...

Jony24 sourit

Deltamu : Alors.. chut.

Jony24 sourit en silence

Saens : Hum... parlez de qui ?

Deltamu profite qu'il s'étire pour s'aller, en silence, poser contre Saens.

Deltamu : De l'ange qui passait tout à l'heure.

Saens : Hum... quand je suis arrivé ?

Deltamu : J'aurais aimé le voir dormir.

Deltamu : Non, quand nous étions silencieux.

Saens : Ah... encore une expression étrange c'est cela...

Jony24 : voila maintenant c'est fini !! Il reviendra plus !!

Deltamu : Tout à fait.

Deltamu : Lorsqu'il fait grand silence, on dit qu'un ange passe.

Saens passe un bras discret autour de sa taille.

Saens : Alors je vois des tas d'anges dans la journée.

Jony24 : bon ben je vais vous laisser les tourtereaux... Vous serez mieux seuls...

Jony24 sourit

Deltamu : Quelle chance vous avez.

Jony24 : à la prochaine !!

Saens : Hum, au revoir.

Deltamu : Au revoir sieur.

Jony24 sort de la taverne.

Saens : Les... tourtereaux ?

Deltamu rit.

Saens : Je confonds toujours avec les tourteaux...

Deltamu : Tels deux tourteaux, en mer ou sur un plateau.

Deltamu : Je préfère en mer, j'avoue.

Saens sourit.

Saens : Et moi je suis un tourtereau frileux.

Deltamu : Il me semble que le froid était le cadet de vos soucis.

Saens : Au contraire... il a fallu œuvrer pour qu'il disparaisse.

Deltamu : Qu'est ce qu'on ne ferait pas pour la science !

Saens sourit, dénude sa nuque et y pose les lèvres.

Deltamu frémit doucement à son contact, léger sourire aux lèvres et énonce d'un ton docte :

Deltamu : Au contact de l'appendice buccal de l'homme sur l'épiderme... Diverses réactions...

Saens baisse légèrement les yeux.

Saens : Chez les deux sujets...

Deltamu se tourne légèrement vers lui, l'observant, le sourire grandissant quelque peu.

Deltamu : Voilà qui est intéressant.

Saens : Les conséquences d'apposition des muqueuses supérieures, c'est l'étude en cours ?

Deltamu : C'était justement le sujet de l'étude à venir.

Deltamu : Testons, testons, la science ! Sacrifice...

Saens : Puisqu'il le faut.

Deltamu : Pas le choix.

Saens : Un doute sur la procédure, commenceriez par où ?

Deltamu : Peut être faut il commencer sur l'épiderme tout d'abord, pour suivre l'ordre des études.

Deltamu lui dépose un baiser dans le cou, léger.

Deltamu : Là, par exemple.

Saens : Très intéressant. Recommencez pour voir.

Deltamu : Hmm, là ?

Deltamu en dépose un autre, puis d'autres encore, cheminant jusqu'à ses lèvres et s'arrête devant, sans les toucher, les effleurant, à peine.

Deltamu : Verdict ?

Saens : Réaction dermique inquiétante, légère accélération de l'afflux sanguin.

Deltamu : Inquiétante ? Vraiment ? Peut être faut il cesser l'expérience...

Saens : Non non, au contraire. Chaleur agréable dans la nuque, poursuivez.

Deltamu : Bien.

Deltamu soupire.

Deltamu : La science...

Saens : Courage.

Deltamu réprime un sourire et dépose finalement ses lèvres contre les siennes.

Saens les embrasse, de fil en aiguille rajoute des jeux de langues, pas persuadé de l'intérêt scientifique de ceux-ci.

Deltamu s'amuse de cet appendice qui s'en vient titiller le sien et constate quelques évolutions encore dans ses réactions corporelles, sa gorge se soulevant, une chaleur la gagnant.

Saens s'adonne avec discipline à l'expérience, mordille une lèvre, pour voir juste, et rajoute deux éléments, mains qui descendent sur les reins adverses. Note une modification majeure en braies.

Deltamu , bon gré, mal gré - plutôt bon en fait - se sacrifie, mordillant en retour, ne voulant pas être en reste. Se rend compte que ses reins se creusent d'eux même sous les mains expérimenteuses. Ses propres mains viennent se poser ; qui sur un torse, à travers une chemise, qui sur une cuisse, latente

Saens est assailli par un bref souci d'éthique, et décide de mener l'affaire avec le maximum de probité, et surtout de droiture. Tout mauvais jeu de mots mis à part, laisse ses pulsions bestiales le gagner et incite sa consœur à s'installer sur ses genoux.

Ziggystardust entre dans la taverne.

Saens s'écarte.

Saens : 'jour.

Deltamu : hem

Ziggystardust : B'jour m'sieur et re la dame

Ziggystardust : vs'êtes de passage m'sieur ?

Saens : Si fait.

Ziggystardust : comment vs'allez ?

Deltamu décide de se faire silencieuse, l'expérience avortée créant une nouvelle réaction.

Saens : Bien.

Ziggystardust pose ses pieds sur le tabouret en face de lui

Neptunael entre dans la taverne.

Saens murmure à Delta : pensez qu'il serait préférable de poursuivre en plein air ?

Ziggystardust : B'jour m'dame

Deltamu hoche la tête : Cela rajoutera quelques données.
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Delta

Delta

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Seconde expérience. Vide
MessageSujet: Re: Seconde expérience.   Seconde expérience. Icon_minitimeMar 11 Aoû 2009 - 20:12

Delta :
A croire que cette ville ne connait pas la tranquillité.

Saens :
*Referme la porte, la besace étrangement posée devant lui.* La ville peut-être, nous non.

Delta :
*Sourit à la vision de la besace, n'ayant nul besoin de demander où en est l'expérience.* Où allons nous pour continuer l'expérience ? Les oliviers ?

Saens :
Tout dépend... ils sont loin vos oliviers ?

Delta :
*les lui montre, à 1/10 ème de lieue de là.* Vous aviez une autre idée ?

Saens :
Je manque cruellement d'idées et je n'ai déjà plus toute ma tête, et l'eau de vie n'y est
pour rien je vous le jure, va pour les oliviers.


Delta :
*L'y entraine, le pas rapide, pressée par la nécessité de poursuivre l'expérience.* L'eau de vie ? Cette bouteille ne sera donc pas finie ?

Saens :
*La suit docilement, même rythme, même motivation.* Pas encore, mais si vous y tenez, je peux lui donner le coup de grâce cette nuit.

Delta :
Ce serait risquer de ne pouvoir repartir, trop ivre pour ce faire. *Une fois arrivée, lui prend sa besace et la dépose au sol, s'allant presser contre lui pour reprendre l'expérience des muqueuses supérieures.*

Saens :
*Visiblement amusé :* Hier vous maniganciez, aujourd'hui vous me mettez à la porte. *Trouve dans son dos l'appui d'un tronc, avec ses mains un visage, et reprend ce qui avait été interrompu.*

Delta :
*Persévère uninstant dans l'étude puis détache ses lèvres des siennes, droit de réponse oblige.* Et qui vous dit que ce n'est pas manigance pour vous faire user d'un certain esprit de contradiction ? *Plisse un instant les yeux* Et qui vous dit que ce que je viens de dire n'est pas encore une manigance ? *Dépose
baiser sur son menton piquant, descendant en son cou, plus doux.*


Saens :
Hum rien en apparence mais... en homme naïf, j'ai songé que si vous vouliez que je reste, vous me l'auriez fait savoir, et inversement. *Quasiment honteux de la simplicité de son raisonnement, pose ses mains dans son dos et prend la robe d'assaut.*

Delta :
*Entreprend de lui ôter son chainse, sourire léger aux lèvres, ceci fait, ancre ses prunelles dans les siennes* Je n'ai pas pour habitude de forcer quiconque, si le vagabond souhaite reprendre sa route, je ne compte pas l'en empêcher. Qu'il reste, qu'il m'oublie, que je ne sois qu'une parmi d'autres toulonnaises, aixoises, peut être ? Ou que sais-je encore, le principal n'est il pas le moment présent ?

Saens :
Vous vous trompez de vagabond, ce barbu-ci passe ses semaines seul comme un escargot, alors vous imaginez, quand une femme, sobre qui plus est, s'intéresse à lui... *Ouvre deux yeux ironiques, glisse ses mains dans son dos, par l'entre-ouverture de la robe délacée.*

Delta :
Seul ? *Cesse ses baisers un instant, l'épiderme frissonnant au contact manuel* J'avais cru comprendre que vous veniez de Toulon et que vous en aviez connu la lieutenant... ce qui sous entend, sobre aussi. Je me trompe ? *Sans attendre de réponse, reprend ses baisers là où elle les avait laissés, soit au dessus de son nombril et laisse ses mains l'aller défaire de ses braies*

Saens :
Hum... non, pas toujours sobre. Bref. *Les deux mains sur sa nuque, fixe un horizon sec - le corps en totale inadéquation avec un esprit occupé à chercher ses mots, comme bien souvent.* Comprenez, pas envie de vous murmurer au creux de l'oreille que vous êtes différentes des rares autres, quoique dans votre genre vous vous distinguez joliment de la masse ambiante d'abrutis provençaux, pas envie d'y engager comment disiez-vous ? Ah oui, les grâces de l'amour, les grâces du corps et du langage suffisant amplement à mon appétit.
Juste envie de rester un brin. Mais évidemment, si vous avez un autre zig qui trépigne devant votre porte, voudrais pas déranger.


Delta :
*Joue qui se fait mordiller de l'intérieur alors que son regard suit le sien, torturée un instant par le temps qui lui fait faux bond.* A dire vrai, il ne trépigne pas encore mais arrivera dans quelques jours... Aucune promesse bien entendu, il connait ma façon de vivre, mais je me vois mal l'accueillir avec le lit déjà occupé. D'ici là ? Ma foi... - il faut que je cesse d'user cette expression qui ne me sied guère - d'ici là, si vous souhaitez profiter d'instants... Poursuivre les expériences... J'ai l'amour vagabond comme je vous l'ai dit, et ce jour il s'est trouvé compagnon de route, pour un brin.

Saens :
Autant partir tout à l'heure donc, j'irai pousser ma curiosité scientifique ailleurs, vous savez, les plantes, les champignons, les hausses du prix des chemises, pléthore de sujets. *Sourit et laisse retomber son dos contre le rugueux d'un tronc.*

Delta :
*Hausse un sourcil et le regarde.* J'aurais aimé pousser l'expérience un peu plus, le début me donnant l'envie de poser mon âme vagabonde auprès de votre sac. *Se dit qu'elle n'a sans doute pas été claire, ambigüe, sans doute, peu sûre d'elle, pour une fois.* Et je doute que le prix des chemises et le cours des champignons vous plaise tant.

Saens :
Il me restera les plantes. Et puis, les lavandières à Marseille sont surchargées parait-il, je préfère m'éclipser avant, que vous ayez le temps d'y porter les draps. Il me reste également la science des prétextes, et à celle-ci, je peux me montrer extrêmement doué. Vous menez votre vie selon vos désirs, moi également, et le mien est de n'être pas coincé dans le carcan du temps, mis à part celui qui nous fait calancher tous à la fin. Celui-ci je n'y peux rien. *Repasse en brouillon sa chainse, s'étire de nouveau, le soleil pèse.*

Delta :
Nulle envie donc que je le laisse à la porte, et qu'on pousse plus loin les portes de la science ? Prétexte et décision rapide. Je constate, cessant par là même l'expérience en cours. *Frissonne, glacée tout à coup.* Le temps... Je ne vous connais que d'hier et pourtant j'en viens à me demander si ma porte sera ouverte à celui qui doit venir vendredi. Mon désir actuel, là, tout de suite, c'est que vous ôtiez votre chainse et qu'on reprenne là où on en était. Et qu'on expérimente, les jours à venir, et que... Je ne vous mettais pas dehors, j'avais oublié sa venue, ce n'était réellement que taquinerie de ma part. Lorsque vous avez posé la question, ça m'est revenu, j'ai répondu. *Mordillement en règle de sa propre lèvre, main qui se tend vers lui, l'effleurant à travers son vêtement.*

Saens :
*Lui attrape doucement le menton pour qu'elle arrête de martyriser cette pauvre lèvre et pose un bécot dessus.* N'en auriez pas oublié d'autres par hasard ? Que je m'organise à temps.

Delta :
*Cesse la torture de sa lèvre, réchauffée tout à coup, fait mine de réfléchir un instant, sourcil froncés et le regarde enfin, léger sourire aux lèvres.* Non, je ne crois pas avoir oublié quiconque. *Sa main se pose, simplement, légère sur le torse effleuré tout d'abord.*

Saens :
*Suit la réflexion avec un intérêt croissant, sourit brièvement à sa réponse et réitère l'avancée vers les lèvres de manière plus décidée. Enfin, se débarrasse de cette sacrée chainse et l'amène contre lui - Delta, pas la chainse.*

Delta :
*Reprend l'expérience du contact des muqueuses supérieures avec un entrain ni feint ni dissimulé, et, le torse enfin de nouveau à nu l'accueillant, s'y blottit tel un oiseau... donc les griffes le parcoureraient, légères, mais présentes.*

Saens :
*Se laisse marquer à l'estampille deltaienne sans rechigner, tant qu'elle est douce, et puisqu'il est question de griffes il l'enserre, se venge, la mordille, se fait pardonner, l'embrasse, au coin des lèvres, sur une tempe, à l'épaule.*

Delta :
*Ses mains s'affolent, ses lèvres aussi, la robe encore ouverte glisse peu a peu, se cambre un rien sous les baisers et les lui rend, avec les intérêts, qui sur son torse, qui en son cou, souhaitant lui montrer qu'au moment présent, nul ombre ne saurait la détourner de lui.*

Saens :
*Un chouïa paresseux, c'est que ce genre d'activités lui donne toujours des jambes en coton, s'affale doucement contre le tronc - par le trou de Sainte-Berthe ça râpe le dos, la fait chuter en pente douce avec lui, la réceptionne sans sa robe. Effectue un travail de sape méthodique sur le reste de sa mise.*

Delta :
*Choit avec lui, sur lui presque et n'ose imaginer la brutale caresse du tronc contre sa peau, se disant que si griffé il devait être c'était à elle de le faire. Impressionnée par le tour de passe passe, se retrouve bien vite dépourvue du moindre tissu. Réitère ses caresses labiales sur sa peau à nu, dextre et sénestre allant s'aventurer vers son bas ventre. À lui.*
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Delta

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Seconde expérience. Vide
MessageSujet: Re: Seconde expérience.   Seconde expérience. Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:04

Saens :
*Quelques heures après l'étude aux oliviers, air encore lourd que vient agacer une brise grêle. Le brun a fait quelques efforts (sic), qui se résument en une chainse propre de l'après-midi. Il n'est pas trop débraillé. S'est retrouvé comme par miracle dans le quartier des Cigales, et fouine, cherche, inspecte, détaille, fourrage et farfouille dans sa mémoire, qui n'a retenu que des draps. Après deux essais manqués, une petite vieille et un vilain muet, il frappe au 46. Se mord la lippe inférieure, la dame est sûrement en train d'écumer les tavernes. Fouine dans sa besace, extirpe une pipe d'entre une chiffe de linge et quelques feuilles. La bourre acrobatiquement dans la rue noire -la pipe enfin- l'allume à l'amadou et tire une bouffée de sauge, histoire d'avoir de la contenance dans le poireautage.*

Delta :
*Sortant de la taverne, n'y ayant que peu bu, cherchant parfois, souvent, à la fenêtre une silhouette qui n'arrivait pas. En même temps, en une taverne bondée, elle eut été presque sûre de ne pas le voir. Elle laissa ses pas la conduire à son logis. Nez qui se fronce, odeur de sauge qui vient la titiller au moment où ses yeux accrochent une légère lueur rougeâtre. Lueur qui laisse apparaitre les contours d'un visage. Un sourire s'accroche à ses lèvres, tandis que ses pieds accélèrent la cadence.*

Saens :
*Pipaille lentement dans la sorgue, perdu dans ses pensées les plus profondes, ou du moins se plait-il à le croire, une petite marre d'idées qui pataugent. Bruit de pas qui s'intensifie, il ne quitte pas le petit objet fumant des yeux, se racle un peu la gorge et, sans se départir de cette fâcheuse habitude d'adresser le mot aux passants :* Dites sieur, n'auriez pas vu passer une... brune, avec de grands yeux bleu comme des abîmes et un drôle de truc à l'épaule ?

Delta :
*Mouvement qui cesse juste à côté du brun songeur, le sourire s'intensifiant tandis qu'il énonce sa question. Incline la tête de côté pour le détailler un brin, profitant de son immobilisme pour ce faire, la fumée l'entourant d'un halo étrange.* Un peu comme ça le drôle de truc à l'épaule ? *La dite épaule à portée de regard.* Et... je ne suis pas un sieur, enfin... il parait.

Saens :
*Tourne la tête vers l'épaule qu'il distingue à peine, et, ignorant la remarque à propos du sieur,* Ah tiens, vous avez la même, comme c'est étrange. *, Tout en tirant dessus, rapproche la bouffarde du tatouage pour y voir plus clair.* Et comment vous vous êtes fait ça ?

Delta :
Oui, étrange n'est il pas que la même marque orne mon épaule. *Sourire plus qu'amusé qui s'amène.* Et pour ce qui est de sa provenance, à vrai dire... Je l'ignore totalement. *S'approche de la porte* Mais dans le noir, comment être sûr que
c'est bien la même marque ?


Saens :
G'ai eu le temps de regarder attentivement l'orichinal. *Dit-il, la pipe au bec.*

Delta :
Vous pensez donc que ce ne serait que contrefaçon ? *De plus en plus amusée, finit par ouvrir la porte.*

Saens :
Je penchais à une chorte de secte... *S'appuie flanc contre le chambranle de la porte, plisse ses yeux et extorque la fumée de ses pauvres poumons.* Pensez qu'elle m'en voudra si je lui fais des infidélités avec vous ce soir ?

Delta :
Pour tout vous dire, je crois qu'elle n'est pas jalouse. Même lorsqu'elle apprécie beaucoup. Mais... *Entre et se retourne vers lui, narquoise.* Qui vous dit que j'ai envie que vous lui fassiez des infidélités avec moi ? *Songe très fort que s'il fait demi tour... elle ne lui laissera pas le temps de s'éloigner.*

Saens :
*Qui avait un début de sourire, le sent s'estomper. Rétorque :* Est-ce important ? Pour vous seulement. Si je ne me suis pas à votre goût, je vais devoir en venir au viol, ce serait dommage. D'un, parce que je suis paresseux, de deux, parce qu'il est encore trop tôt pour ces affaires-ci.

Delta :
Ce n'est en effet nullement important, qui sait je pourrais y prendre goût. *Ouvre grand la porte, lui souriant.* Vous entrez ou vous préférez la nuit ?

Saens :
Je me résous à entrer... *Verse les cendres du brûle-gueule dehors et passe le seuil.*
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Delta

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Seconde expérience. Vide
MessageSujet: Re: Seconde expérience.   Seconde expérience. Icon_minitimeMer 12 Aoû 2009 - 16:19

Delta :
Je ne voudrais pas vous forcer. *Referme la porte sur la noirceur qui ne demandait qu'à s'immiscer et va attiser quelque peu le feu pour qu'il diffuse une lueur un rien plus importante.*

Saens :
*Dépose son sac près de l'huis et la rejoint près du feu, les yeux rivés sur l'épaule vierge.*

Delta :
*Se redresse de devant l'âtre, ne l'ayant pas entendu s'approcher et se cogne à lui légèrement, relève la tête, cherchant ses prunelles, un sourire innocent aux lèvres* euh... oups ?

Saens :
*Se gratte une tempe et détache son regard de l'épaule pour le planter dans le sien.* C'est de la provocation de haut vol ça. Je vais devoir me résoudre également à ce dont je vous ai parlé, c'est ennuyeux.

Delta :
*Petite moue dubitative.* Vous n'oseriez tout de même pas ?

Saens :
*Hausse doucement les épaules.* Vous m'y forcez un peu.

Delta :
Je ne force en rien, je m'interroge. Et si vous faisiez cela, comment vous y prendriez vous ? *Un rien de provocation dans le regard, le jauge de la tête au pied, essayant d'afficher un dédain mal feint où transparait son intérêt pour l'homme.*

Saens :
*Sachant pertinemment qu'il a une musculature... hum, sobre, décide de ne pas tenter le diable.* Je commencerais par une phrase polie. Madame me feriez-vous le plaisir de vous poser sur votre quatre membres, je sais, c'est un effort, mais le minimum, pour faire la bête à deux dos.

Delta :
Ainsi, sans préavis ? Vous voudriez que je m'installe ? Et où donc, dites-moi ?

Saens :
A votre bon confort, je ne suis pas très pointilleux sur la question du lieu.

Delta :
Mais... cela n'est pas un viol si je m'y plie. Si ?

Saens :
Si fait, mais autant demander avant, sait-on jamais. Appelez ça un... viol coopératif.

Delta :
Et ensuite, si je m'installais, disons, comme cela. Que feriez-vous ? *Joint le geste à la parole et se pose, genoux et paumes au sol.*

Saens :
*Hausse un sourcil, faussement outré, puis sourit.* ça encore, ce sont des choses qui se vivent. Mais je veux bien commenter, si vous le souhaitez. *S'agenouille derrière elle, pose deux mains et pose juste, sur la croupe.* Tenez, devinez, en premier lieu.

Delta :
Deviner ? hmmm je ne sais si vous retrousserez simplement la robe ou la déferez pour abuser de l'être entier. Je ne sais si l'envie de parcourir plus se fera plus forte que la fainéantise. *Sourire qui ne la quitte plus*

Saens :
Il y a déjà bien assez à explorer après la taille. *La trousse soigneusement jusqu'aux reins, ne peut s'empêcher de caresser ses cuisses au passage.* Et puis d'ici la vue est imprenable. Ensuite ?

Delta :
*Reins qui se creusent d'un rien tandis qu'il y remonte la robe.* Ensuite ? Je ne sais... Pour un viol vous besogneriez sans aucun scrupule, mais s'il est consenti... Peut être seriez vous doux.

Saens :
Vous vous avancez dans la manœuvre. Il existe trois voies pour un viol, celle dont je causais tantôt dans l'après-midi avec vous, la royale *pose un index sur celle-ci* et l'italienne *pose un pouce sur celle-là*. Votre violeur se tâte encore.

Delta :
Plutôt que de se tâter... Et la troisième ? *Réfléchit un instant.* Qu'en pense la science ? Et d'ailleurs... faut-il vraiment choisir ?

Saens :
Je ne pense pas. *Se gratte le menton* Une étude comparative me semble être la meilleure solution.

Delta :
Sans doute oui. Maintenant que nous en avons discuté. Vivons nous tout de suite ou nous attaquons nous à cette bouteille qui ne sera jamais finie ? *Esquisse un geste pour se relever*

Saens :
*La retient par les hanches.* Vivons, vivons.

Delta :
*Tourne la tête pour le regarder un instant, plus émoustillée qu'autre chose, sourire aux lèvres, toujours.* Vivons... Si j'ai bien compris, je me dois alors de subir ?

Saens :
Voilà. Tournez la tête, je dois régler quelques légers détails techniques... *Délace ses braies, la bête est déjà d'attaque, et humecte deux doigts qu'il introduit sagement par l'allée la plus classique.*

Delta :
Bien, si mon violeur en décide ainsi. *Retourne la tête, regardant devant elle, rien qu'un instant, les yeux se fermant d'eux même lorsque ses doigts s'insinuent en elle, n'ayant nul besoin d'aide, la brune étant déjà en attente. Croupe qui se relève quelque peu, accueillante.*

Saens :
*Après les doigts, s'introduit lui, sans trop de sauvagerie. Soupir d'aise, et de remonter les mains dans la chaleur d'un dos, afin de démentir la froideur de son langage.*

Delta :
*Cambrure qui s'accentue lorsqu'il entre en elle, petit son aigu qui s'échappe de ses lèvres closes encore et frisson qui lui traverse l'échine alors que dextre et senestre s'en vont la visiter. Souffle :* Ensuite ?

Saens :
Ensuite ? *Commence à donner du coup de rein, s'arrête pour ôter sa chainse et revient crûment à l'assaut, les doigts à présents crispés sur ses hanches et l'estomac noué de plaisir.*

Delta :
*Lèvre mordue, - la sienne, celle de l'homme est bien trop loin pour subir - mains qui assurent leur prise au sol tandis que le mouvement se fait plus fort, tendue, impatiente tandis qu'il se dessape. Relâche sa lèvre, ridicule barrière contre les sons qui veulent s'échapper d'elle, venant de loin.*

Saens :
*Affirme le mouvement au fur et à mesure qu'elle gémit, l'intensifie et quelques moments plus tard le ralentit, pour recouvrir une semblance de contrôle. Une paume moite sur chaque arrondi d'une fesse, se penche, et à l'aide de sa bouche remplit le rôle que les doigts ont vainement tenu tout à l'heure, juste un peu plus bas.*

Delta :
*Frustrée du fait qu'il ralentisse, hésite à tourner la tête, ignorante de ce qu'il fait, mais se plie au jeu et garde le regard pointé vers l'avant. Surprise, agréable, lorsque la bouche s'en vient la visiter, corps en attente, plaisir latent, prêt à éclore, immobile.*

Saens :
*Ne boude pas le sien, de plaisir, quand il en vient à la seconde phase de l'étude. Guère plus doux dans le balancé de rein, l'oreille à l'affut des manifestations de son amante et les tempes emperlées de sueur. Les mains n'en font qu'à leur tête, enserrent une taille pour l'instant, iront s'étendre jusqu'aux omoplates celui d'après.*

Delta :
*Irradiée. Douleur, plaisir, mêlés, l'amant un rien brutal pour cette phase lui arrache un râle, profond. Immobile encore, un instant, le temps que la souffrance s'estompe ne lui laissant désormais que profit, délice sans pareil. Le corps en phase avec celui qui se tient derrière elle, enfin, répond au mouvement imprimé, les bras, tremblant, la tête au delà des cieux. Intense.*

Saens :
*Se pique d'être régulier, souffle rompu, l'hampe soigneusement ferrée. Gémit suffisamment pour qu'aucun ange n'ait le temps de passer, plongé dans la même symbiose, le plaisir qui rend malade et les gestes quasiment animal.*

Delta :
*Submergée. Ses bras tremblotant auparavant ne la soutiennent plus. Tente de se reposer dessus à nouveau, n'arrive qu'à s'appuyer sur ses avants bras, croupe un rien plus relevée, le visage presque au sol. Souffle, court, long, erratique. Eveil des sens... Eveil à Saens. Un cri, muet.*

Saens :
*Mû par le besoin de la sentir davantage, met fin à l'entre-position en appuyant doucement sur son dos, qu'elle s'allonge sur le ventre. Toujours en elle, et jusqu'à la garde, étend sa carcasse secouée au-dessus de son amante, retenu par ses avant-bras. Embrasse son cou, le bras d'une joue, ou plus exactement, goûte à la chair.*

Delta :
*Docile, meneuse gouvernée de main de maitre, croqueuse goûtée des lèvres de son amant. S'allonge, menée, le percevant plus loin encore, le cri muet toujours en bouche. Dôme en feu, offert, pris. Sent cette bouche qui la parcourt, songe un bref instant qu'elle aimerait le croquer à son tour, très bref moment écourté par les sensations qui l'habitent, neutralisant toute pensée.*

Saens :
*Bouche écrasée dans sa nuque, besogne donc sans scrupules, comme elle l'avait annoncé. Et s'arrête parfois, pour le plaisir de se retirer, et de recommencer longuement, perdant peu à peu la notion du temps, ne gardant que celle de la femme en-dessous de lui et du plaisir qui tambourine à la porte.*

Delta :
*Le souffle irrégulier auparavant se fait désormais absent le temps des siennes, d'absence, ne reprenant que lorsqu'il revient, encore, et encore. Sa peau ne méritant plus le terme de moite témoigne de l'effort, de la force de l'étreinte. Coup de rein, inversé, à sa rencontre, de temps à autre.*

Saens :
*Émet un gémissement, quand les bas-ventres se contrarient. Dans la fulgurance du moment, en vient même à articuler son nom, c'est dire. Cervelet réduit sous le joug des corps, membres mêlés dans la touffeur à laquelle robe troussée et braies baissées n'arrangent rien. Les dites absences du brun s'amenuisent, jusqu'à disparaître tout à fait ; à ce stade il devient tout bonnement incapable de se détacher d'elle.*

Delta :
*Les flammes de l'âtre font pâle figure à côté de celles qui la dévorent, se consume petit à petit, mais n'en reste pas moins vivace, vivante, bien plus encore qu'avant le début de la crémation. Fraicheur brûlante à son ouïe que de s'entendre nommer. Le moment, le présent, l'instant, partage des sens.*

Saens :
*D'une main, tire vainement sur les lacets de la robe, pour grappiller des centimètres de peau, relâche sa prise, dans le bruit entêtant des respirations jointes, du moins ce qu'il en reste. La même main, une dextre aux jointures pétrifiées, descend agripper une hanche et la cadence des va-et-vient s'accélère graduellement.*

Delta :
*Incapable de l'aider à tirer sur sa robe, l'ôter n'en parlons pas. La brune, les prunelles ébahies accueille l'assaut de plus en plus rapide. L'homme qui se dit vieux ne l'est sans doute pas tant, empli de ressources. Hanche maintenue, va-et-vient intempestif, elle repart, encore, dans cet ailleurs où seul lui et elle comptent, là où son esprit ne l'encombre pas de questions ni de détails pratiques.*

Saens :
*S'il y parvenait encore à peu près il y a quelques minutes, est tombé dans une inaptitude certaine à moduler son plaisir. Le rythme est maintenu hâtif, le coup corsé, empreint d'une brutalité souple, le Saens ne se maintient plus tellement que sur son unique coude, laisse s'échapper quelques sons inarticulés, prémices d'achèvement, du corps cette fois.*

Delta :
*Si elle était encore en état, elle constaterait bien des réactions au vu de l'expérience. Loin de l'épiderme exacerbé par un baiser, un souffle, une caresse, le plaisir est là bestial, seuls les corps parlent, l'heure n'est plus à faire de l'esprit. Jeu de mots, jeu de maux, émotions, jeu de mâle. Elle n'est entre ses mains, sous lui, que jouet, objet. Mais objet conscient... inconscient de par la vague qui la submerge, au coin du feu.*

Saens :
*Se retrouve, il ne sait trop comment, renversé à côté d'elle, sur le dos, le torse soulevé de sensations et la conscience encore en berne. Il vient de s'abandonner, probablement bruyamment, de quoi éveiller toutes les cigales du quartier, ou peut-être par sons amputés, il ne sait plus. Lui reste, à un certain degré de mémoire, la vision foudroyante de quelques milliers de points lumineux - sursaut palpébral vain, pour les faire partir. Main tâtonnante, qui s'accroche à son amante.*

Delta :
*Abandon. Vide. Déluge de notions toutes plus folles les unes que les autres se mêlant à l'émotion conjuguée de leurs efforts mêlés. Immobile. Reste ainsi, suspendue dans un quart de conscience, et encore, jusqu'à ce qu'une main la reconduise sur terre. Face à face avec le maitre de ladite main, prunelles brillantes qui le regarde, yeux qui parlent pour elle tandis que sa bouche s'en vient chercher la sienne. Epanouie.*

Saens :
*Part dans un léger rire qui se fond dans sa respiration encore cavalcadante, notes de joie, l'embrasse, à pleine bouche dira-t-on et murmure qu'ensuite, il y avait ça.*

Delta :
*Rire qui trouve écho, léger lui aussi, baiser marqué encore par le moment vécu, et, réponse au murmure, sur le même ton :* Je constate... Mais dites-moi... Prenez vous des notes ? *Petit sourire mutin* Vous savez, pour la science, parce qu'avec nos mémoires...

Saens :
*Sourit, caresse sa nuque et son épaule tout en réfléchissant.* Si vous y tenez, on fera un compte-rendu demain. Et si d'ici-là nous avons oublié quelques éléments, rien ne nous empêche de réitérer.

Delta :
*Menton qui se pose sur son torse, acquiesce en silence, les lèvres étirées en un tendre sourire. Le moment s'estompant, la fatigue arrive. Pupilles qui se fixent sur lui tandis que les paupières alourdies commencent à se clore, songeant que sans doute, ils seraient mieux sur son lit, mais que... elle est bien là.*

Saens :
*L'observe sombrer dans les bras du remplaçant Morphée, et comme il lui reste un fond de bon sens, parfois, hasarde :* Voulez que je vous emmène à votre couche ?

Delta :
*Du menton, la tête oscille, la joue effleurant désormais son torse... enfin, effleurant, y est posée bien installée. A la question est donnée réponse, bafouillée, dans le sommeil qui la guette.* Volontiers, si tant est que vous la partagiez.

Saens :
Demandé si gentiment. *N'est de toute manière pas sûr de savoir retrouver la route jusqu'à son auberge, mais n'en dit mot, se lève, jambes fourmillantes à souhait, et lui tend ses bras.*

Delta :
*S'y niche, partagée entre les siens et ceux de Morphée, sachant d'ores et déjà que les rêves seront doux. Yeux clos, dépose un baiser en son cou.*

Saens :
*Lui en rend un sur les cheveux et fait avancer l'endormie, la soutenant, jusqu'aux draps, où il la laisse s'affaler. Lui ôte sa robe, peut-être un peu trop tard, se défait de ses braies, et rejoint l'enlacer.*

Delta :
*Ne le sent qu'à peine la dévêtir et termine de s'endormir rapidement en somme, rassasiée, en des bras qu'elle apprécie, beaucoup.*
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Seconde expérience. Vide
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